Taille : 156cm
Poids : 52kg
Couleur des yeux : Miel
Couleur des cheveux : Chocolat
Autre : Il y a tout d'abord sa petite taille, qui lui donne une silhouette moins élancée et impressionnante que toutes ces grandes filles qui la surpassent de plus d'une tête. Puis, sa fine taille aux quelques rondeurs qu'elle assume sans broncher. Ses cheveux aux reflets dorés qui auraient pu être magnifique si elle ne se les faisait pas couper toutes les saisons. Ses fines épaules, son cou de signe et son visage ovale où sont posés ses yeux de couleur miel, son petit nez busqué et ses fines lèvres.
Et enfin, ses oreilles de Célés. Qu'elle ne cherche pas à cacher aux regard curieux des autres, qu'elle assume pleinement tout en les oubliant. Mais ce qu'elle préfère chez elle, reste son petit tatouage au creux de son coup, du côté droit.
« 痛みは避けられない。
苦しみはオプションです。»
ou traduction : « Pain is inevitable. Suffering is optional. ».

Qualités : Simpliste, discrète, indépendante, franche, naturelle, instinctive et impulsive
Défauts : Asociale, grosse fumeuse, ne tient pas en place, saute sur tout ce qui bouge, bagarreuse, voleuse, bordélique, atteinte de la maladie de la feignantise (stade avancé),
Autre : Il n'en faut pas beaucoup pour l'intéresser. Juste ce qu'il faut. Elle aime les choses simples et facile, elle aime quand c'est logique, quand ça coule de source.  Bon, et puis il y a des choses qu'elle trouve inutile. Comme les chaussures. Ou les cheveux, qui n'existent que pour se promener devant les yeux en plein délit pour ensuite bêtement se faire attraper. Mais sa confiance en son instinct et son don pour la nature l'emmena de façon inévitable chez les Oléanda.
De son visage d'ange et son sourire enfantin, il est facile de passer à son autre facette, celle qu'elle a du se forger et construire, telle une muraille monté pierre par pierre. Celle de la voleuse sournoise, de la rebelle à l'instinct de survie particulièrement développé, par rapport aux humains en tout cas. Mais jamais elle ne montrera son autre côté. Car oui, comme tout le monde le bien et le mal est tout mélangé. Seulement, certains se différencieront par leur loyauté aiguisé ou leurs beaux cheveux. Elle, c'est sa méchanceté. Qu'elle sait parfaitement destructrice, autant pour les autres, que pour elle. Son sourire est sa seule arme, et ses amis, des victimes potentiels.

On lui demande de ne pas beaucoup parler de sa famille. Comme quoi les élèves des Shawn n'ont pas accès à ce genre d'activité et que de jeunes enfants de dix ans maximum n'ont pas une mémoire assez développer pour avoir de vrais souvenirs. Pourtant, c'est grâce à cela qu'elle est là, non ? C'est grâce à ces familles que l'Empire peut avoir de nouveaux prodiges à envoyer à la mort, n'est-ce pas ?
Allez, un peut de rire ne fait pas de mal dans ces temps troublés. Car pour qu'elle puisse parler de sa famille, il aurait déjà fallu qu'elle en ait une. Car tout commence dans une rue délabré des bas quartier, comme il en existe des centaines dans cette région mal famé de l'Empire. Sa naissance avec sa mère qui mourut après l'accouchement, et sa tante qui la plaça au couvant. Puis, ce couvant qui coula sous les dettes et déversa des centaines d'enfants dans les rues dangereuses. Et enfin, sa vie de vagabonde, de voleuse parmi les voleuse, de jeune mendiante et petite dealeuse. Une mal-née, sans aucun avenir autre que celui de pauvre survivante, victime parmi tant d'autres des manigances de ceux qui possèdent l'argent. Un avenir tracé qui, pourtant, tourna de façon radicale un jour de ces dix ans ou elle décida, d'un coup de tête (oui elle fait souvent ça) de passer le concours d'entrer à l'académie la plus prestigieuse du pays. Sa décision aurait été mal prise si elle avait du retourner dans ses quartiers, où elle voyait déjà les répliques scandalisées "Tu veux travailler pour l'Empire alors qu'il n'a jamais rien fait pour nous ? Retourne dans les égouts, petite bonne à rien ! ". Mais bien heureusement pour elle, cela ne s'est pas passé de cette manière. Elle a fait un score acceptable. Ni médiocre ni mémorable. Et a été accepté, peut-être sauvée par les épreuves pratiques de combat et de survie. Puis, a du apprendre à ce tenir correctement, à ne pas manger tout ce qu'il y avait sur la table tout en gardant à l'esprit qu'il y en aurait aussi le lendemain. A ne pas casser le bras du premier qui lui taperait sur l'épaule, à accepter les regards sur ses deux oreilles et ses pieds nus ou encore à ne pas sortir des cours par unique prétexte que cela l'ennuyait. Car malgré qu'on pourrait croire qu'à partir de cet instant, sa vie devint facile, la réalité est en fait toute contraire. Il lui a fallu casser ses habitudes et jeter ses certitudes. Bien qu'elle restait une des premières en combat, ses notes restent médiocres lorsqu'il s'agit de théorie. Et pourtant, elle est bien chez les Oléanda, se passionne pour les potions en tout genre et leurs propriétés si mystérieuses. Il n'y a que ces fioles qui la calment, ça et le chocolat.
Aujourd'hui, elle reste une orpheline sans famille, avec très peu d'amis. Solitaire avec la mauvaise habitude du tabac et qui résiste encore et toujours à ces gosses de riches qui sont dans l’académie uniquement grâce au portefeuille de leur paternel, aussi repoussants que leur progéniture mais de façon civilisé. Malgré tous les efforts qu'elle a due faire durant sa période scolaire, elle reste encore une éternelle sauvage qui aime se balader sur le toit sous les étoiles, une inconditionnelle optimise qui sait qu'il faut sourire pour vivre, une petite sournoise qui garde au font d'elle ces mauvais instincts de l'humain dont elle a appris si - top - jeune à se servir.